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[Proposition]Village des chasseurs ( nom pouwi à redéfinir)

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Message  Invité Jeu 27 Déc - 3:20

(Avertissement : le terme guilde, ici, ne désignera en aucun cas les "guildes" orcs ou DE présentes au sein du village, ces dernières sont des écoles locales, chapeautées par les organisations dont nous allons parler ici. )




o Histoire

Le village des chasseurs était, à son origine, un tout petit hameau, n' abritant qu' une confrérie de bûcherons. La création de ce village date environ du premier siècle de l' ère impériale, lorsque les villes humaines grossissaient et que la demande en bois était très importante.
Le rythme des grandes constructions s' étant calmé, le petit village a du diversifier ses activités. La population a peu à peu augmenté, jusqu' à donner au village ses proportions actuelles. La communauté a bien changé entre temps, beaucoup se sont tournés vers des activités beaucoup plus lucratives ( mais non moins dangereuses ) que le commerce du bois. Missions d' éclaireurs, de récupération, d' escorte, de mise au silence, de chasse… Les habitants, au fil des générations, surent se perfectionner dans une pléthore de compétences plus ou moins légales selon les standards Einhasadiens. Si la transition a été lente, la différence entre la paisible compagnie de bûcherons et le melting-pot plus ou moins organisé en une grande communauté est frappante.
Le village n' a jamais fait l' objet d' une quelconque convoitise. L' environnement assez inhospitalier et faible en ressources naturelles, combiné à l' absence de voisins particulièrement agressifs assurent une certaine tranquillité au village, pour le plus grand plaisir des guildes y officiant.

o Pouvoir en place, dirigeants.

Il n' y a pas vraiment de pouvoir à proprement parler, du moins pas de pouvoir visible. Toutes les personnes établies au village, y travaillant, ou s' en servant comme base, sont sous l' égide plus ou moins formelle de Guildes, ayant chacune sa spécialité, son " territoire ". Il s' agit d' une organisation assez opaque, impliquant des organisations veillant au maintien d' un certain ordre au sein du village ( le leur, tant qu' à faire ). Leurs émissaires sont connus, et font respecter certaines règles, " nécessaires à la vie en communauté ".
Mis à part le prélèvement de taxes sur le commerce et sur les personnes établies au village, les guildes ne sont guère intrusives sur le reste. Les habitants du village font à peu près ce qu' ils veulent, tant qu' ils ne provoquent pas de grabuge nuisant aux affaires.
Les guildes opère un raisonnement simple :
- Elles touchent un petit pourcentage sur les fruits de certaines activités des habitants de ce village, qui vivent dans un cadre totalement neutre et relativement paisible ( au moins en apparence, la plupart du temps ).
- Le village est réputé pour les services que ses habitants peuvent accomplir. On peut y venir en sécurité si on a de quoi remplir les poches des honnêtes travailleurs vivant dans ce village.
- Qui voudrait aller dépenser ses adenas et risquer sa bourse dans un coupe-jarrets ?

A cet effet, les guildes, chacune à son niveau, sont assez tatillonnes avec l' image que doit donner le village, elles ne lésinent pas sur les moyens d' ailleurs. Ainsi, épisodiquement, on aura des règlements de comptes, rapides et violents, feutrés dans la mesure du possible. Quelques cadavres en plus dans les ravins ( soigneusement cachés ), le calme revient. Nouvelle guilde chapeautant un secteur d' activité particulier, Nouveau dirigeant de guilde, ça dépend des fois.


Principales guildes :

Guilde des chasseurs de primes
Guilde des Assassins
Guilde des établissements de jeu et maisons closes
Guilde des Auberges
Guilde des commerces et forges

L' organisation formelle de ces groupements est complètement opaque, leurs vrais chefs ne sont pas connus. Ces guildes peuvent avoir plusieurs sous-sections.


o Mentalité de la population

Le tissu social est….. varié.
Commerçants douteux, chasseurs de primes, mercenaires, assassins, voleurs professionnels, récupérateurs, escorteurs… Le village est le carrefour de bon nombre de personnes, ayant fait leur profession de métiers un peu trop salissants pour certaines mains. Il y a aussi des personnes " normales ", exerçant des métiers plus banaux. Toutefois, force est de constater que de l' extérieur, le village peut paraître assez mal fréquenté, malgré les efforts déployés par les guildes pour rendre le village à peu près paisible.
Au fil des années, les anciennes valeurs morales prêchées par les prêtres d' Einhasad se sont peu à peu étiolées au sein d' une communauté gagnant en nombre, mais se détachant peu à peu de la foi. Peu de gens révèrent encore la déesse, les préoccupations sont beaucoup plus terre à terre au sein du village. L' or et les manières de le dépenser ont supplanté la déesse dans le cœur de beaucoup de gens.
L' argent facile et les plaisirs éphémères dictent leur loi chez les mercenaires. Beaucoup sont venus précisément au village pour y trouver ce cadre de vie. Fils et filles déshérités et las de la monotonie, personnes ayant tout perdu, amateurs de danger et d' imprévu… Tout ceci fait du village un endroit en effervescence perpétuelle, on ne s' y ennuie pas, à défaut de s' y reposer.
On a un peu de tout et de n' importe quoi dans le village, pas mal de n' importe quoi en fait.



o Etat de la garde / attitude des gardes / justice / armée.

La garde…. Il s' agirait plus d' employés des guildes, chargés de faire respecter l' ordre général, afin que Le village paraisse à peu près fréquentable pour un client potentiel. On a un accord tacite entre les différentes guildes du village pour assigner des hommes à tel ou tel secteur.
Les gardes ne s' embarassent pas avec les fauteurs de troubles. Ces derniers sont gentiment avertis la première fois, en général il n' y a pas de seconde fois, vu les rumeurs circulant sur le peu d' affection que les guildes ont pour les prisons. Après tout, les ravins abordant le village sont plus pratiques. De ce fait, la justice est aussi efficace qu' expéditive au sein du village lorsqu' une guilde estime que ses affaires pourraient être altérées. Sinon, la règle du " pas vu pas pris " semble primer.


o Temples présents.

Aucun.


o quartiers qui craignent, dans lesquels la garde est moins présente.

Mis à part la place centrale, on ne peut pas dire que le village soit d' une sécurité exemplaire, néanmoins, la garde pourra vite rappliquer en cas de bazar prononcé.



o commerce/spécialités régionales

Mis à part les commerces de base, on a beaucoup d' auberges et de cabarets plus ou moins bien fréquentés, ainsi qu' un bon nombre d' établissements de jeu et de maisons closes. Le tout répondant à une certaine affection qu' a une grande partie de la population pour les plaisirs éphémères et intenses, et la vie au jour le jour.
Les principales ressources alimentaires de la ville résultent de la chasse, le gibier étant très abondant dans les montagnes environnantes. Certains commerçants se sont spécialisé dans l' exportation -lucrative- de plantes médicinales cueillies au sein de la vallée enchantée, dont l' entrée se situe tout près du village.

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